22 janvier 2016 | Temps de lecture : 8 minutes

Syrie 7: la fachosphère encense Poutine et son armée

Allez, encore un article à la gloire de la grande Russie, terreur du monde occidental corrompu, de la Turquie vendue….

 

 

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Syrie, Les Russes ont déployé des missiles BUK, panique dans la coalition !

 

Tout le monde a encore à l’esprit, la lâche agression de la Turquie, détruisant un Sukhoï SU-24. Aucune justification ne pouvait être acceptée, puisque l’attitude turque aurait dû être neutre.

Aujourd’hui, nous savons que c’est de rage que les Turcs ont abattu cet appareil, parce que les Russes avaient découvert le trafic de pétrole entre daesh et la Turquie.

Vladimir Poutine avait été d’un sang-froid admirable. Mais, il avait déclaré que la Turquie paierait cher cette traîtrise.
Il avait donné ordre à son armée d’abattre tout avion turc avion ou tout charroi turc entrant ou sortant de Syrie.

C’est ce qui passé avec des milliers de camions-citernes qui ont déjà été pulvérisés. Les images de convois en feu, ont abondamment circulé.

Afin de ne pas rater les avions turcs, la Russie a achevé de déployer en Syrie, ses redoutables missiles sol-air BUK. Cette famille de missile à longue portée est muni d’un système radar d’acquisition de la cible qui est d’une très grande fiabilité. Certains ont une portée de 30 km à mach 3.

Du coup, c’est la panique parmi l’aviation de la coalition. Ne cherchez pas cette information, dans les médias main Stream. La censure ne permet pas la diffusion de ce genre de renseignement. Vous citoyens, vous n’avez pas le droit de savoir, cela fausserait la propagande que l’on vous assène.

Désormais, l’aviation britannique ose à peine s’aventurer au-dessus de la Syrie. L’engagement des Britanniques se résume jusqu’à présent à trois missions. Des Tornados ont au total, lâché 19 bombes sur le champ pétrolifère d’Omar, entre la date de permission d’attaque, donnée par le parlement britannique et le 16 décembre 2015.

Autrement dit un engagement purement symbolique ou pathétique. C’est selon.

Même les Américains pour lesquels les médias occidentaux sont toujours dithyrambiques, n’ont réalisé que 148 bombardements entre le 1er décembre et le 22 décembre 2015.

Ne parlons pas des frappes françaises, nous n’avons pas d’information. Nous supposons des vols de reconnais
Il suffit de comparer la mollesse de la coalition avec la pugnacité de l’aviation russe.

Au total, depuis leur engagement, les Russes ont réalisé 5.200 sorties aériennes et 164 entre le 25 et le 28 décembre 2015. L’avez- vous l’avez lu dans vos médias ?

Comparer les efforts Russes et ceux de la coalition, démontre sans problème que ceux qui mènent le combat en Syrie que ce soit dans les airs ou au sol sont les Russes et l’armée Syrienne. En Irak, nous sommes d’accord que l’armée Irakienne a réalisé une petite avancée. Pour combien de temps ?

Pourquoi la coalition a-t-elle freiné considérablement freiné son offensive en Syrie ? Officiellement pour ne pas faire de victimes civiles collatérales.

La réalité est tout autre, les avions de la coalition ont été accrochés par les faisceaux radars des systèmes de tirs des BUK. L’affolement s’est emparé des états-majors de la coalition.
Nous l’avions écrit : la coalition utilise tous les prétextes possibles pour éviter de bombarder daesh.

Ceci démontre une fois de plus que tous nos médias sont bâillonnés et ne peuvent relater les véritables événements. Il est grand temps de se poser la question des subsides distribués à des médias hypocrites.

A terme, cela se terminera par une reconquête de la Syrie par les troupes de Bachar appuyé par les Russes.
Une victoire du stratège Vladimir Poutine !

JACQUES D’EVILLE

 

 

Au moins, le narrateur annonce la couleur de suite: « Tout le monde a encore à l’esprit, la lâche agression de la Turquie, détruisant un Sukhoï SU-24″. Propagande Poutinienne dans sa plus pur veine.

On va passer sur les:

« C’est ce qui passé avec des milliers de camions-citernes qui ont déjà été pulvérisés. Les images de convois en feu, ont abondamment circulé »

Sauf que les dits convois ont été largement attaqués par la coalition:

En premier lieu, à partir du moment où les conducteurs des camions n’appartiennent pas nécessairement à Daesh et que ce ne sont pas des militaires, les bombarder aurait pu être considéré comme un crime de guerre. C’est la raison pour laquelle la coalition largue des tracts avant de frapper les convois.
S’en prendre aux revenus pétroliers de Daesh n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît, comme le soulignait le général Pierre de Villiers, le chef d’état-major des armées (CEMA), lors d’une récente audition à l’Assemblée nationale. « Pour des raisons écologiques et éthiques, il n’est pas question de bombarder n’importe quoi n’importe comment. En outre, il ne faut pas détruire l’infrastructure du pays – ce qui nous a coûté cher dans d’autres situations », avait-il expliqué aux députés.
La nécessité de maintenir les infrastructures a une autre raison : les frapper priverait d’électricité la population civile habitant les régions contrôlées par Daesh. Et cela serait contre-productif dans la mesure où ça pourrait éventuellement servir à la propagande de l’organisation jihadiste.
Quoi qu’il en soit, les opérations menées par la coalition ont produit leur effet. « Nous avons maintenant la certitude que le trafic pétrolier dont Daesh pouvait à un moment être bénéficiaire s’est largement réduit », a en effet affirmé, ce 18 décembre, le président Hollande, lors d’une conférence de presse donnée à l’issue d’un Conseil européen.

 

Opération de propagande assortie de photos truquées, comme celle ci qui avait été relayé abondement dans la fachosphère:

 

 

Alors que celle ci provient d’un article de Métro prise en 2011 en Afghanistan:

 

Toujours la même réponse de ses sites manipulant l’infaux : l’info est vraie, l’image est figurative…

Donc le thème principal de l’article? que les alliés occidentaux sont cloués au sol par peur des missiles russes? Et la presse n’en parle pas? (on remarquera ce leitmotiv systématique quand on pense tenir un scoop)  A priori, si, les appareils de la coalition volent toujours et souvent:

Ainsi, l’axe d’approvisionnement utilisé par Daesh et reliant Raqqa, en Syrie, à Mossoul, en Irak, a été coupé grâce à l’action des forces kurdes irakiennes, appuyées par l’aviation de la coalition, dans le secteur de Sinjar.
Accélérer les frappes tout en respectant les normes
Depuis les attentats de Paris en novembre, les frappes aériennes de la coalition se sont intensifiées contre l’organisation Etat islamique (EI), notamment sur les sites d’hydrocarbures. « Cela porte déjà ses fruits : il y a des tensions au sein de l’organisation, des baisses de rémunération des combattants, des effets d’érosion de Daesh (acronyme de l’EI) », assure-t-on au ministère français de la Défense. L’EI recule en Irak où l’armée régulière, en pleine réorganisation, a notamment rencontré un premier succès à Ramadi.
Pour le chef des opérations à l’état-major des armées françaises, le général Didier Castres, la stratégie militaire de la coalition souffre toutefois de « faiblesses pour produire des effets rapides », notamment dans les « moyens engagés ». Environ 100 sorties aériennes sont effectuées chaque jour, « les trois quarts en Irak et un quart en Syrie », contre 2.000 lors de la première guerre du Golfe en 1991 et 250 en Libye en 2011, a-t-il expliqué le 16 décembre au Sénat. Les frappes peuvent « sans doute encore s’accélérer mais la coalition fonctionne selon des normes, notamment de dommages collatéraux, extrêmement exigeantes », souligne-t-on dans l’entourage de Jean-Yves Le Drian.
Les sept ministres vont également étudier quels moyens supplémentaires mobiliser, en nombre d’avions ou de « formateurs pour accélérer la montée en puissance des forces locales qui reprendront du terrain à Daech », relève-t-on au ministère français de la Défense.

 

Sauf les allemands qui ne volent que de jour! (ça, c’est pour l’anecdote! tout le monde connait les risques à voler de jour pour bombarder!)

Les premiers des 6 avions Tornado ECR engagés par l’Allemagne au profit de la coalition anti-Daesh (EI ou État islamique) sont arrivés à Incirlik (Turquie) en décembre dernier. Mais ils ont effectué leur premier mission de reconnaissance que très récemment. Très peu de détails ont été communiqués à cette occasion. Mais une chose est sûre : les appareils engagés ont volé de jour…
En effet, selon une information du quotidien Bild, les 6 Tornado ECR de la Luftwaffe ne sont actuellement pas en mesure d’assurer des missions nocturnes, bien que la nacelle Reccelite qu’ils emportent permet de prendre des images de jour comme de nuit.
La faute en revient aux lunettes de vision nocturne utilisées par les équipages. L’éclairage du cockpit d’un Tornado étant trop intense, les aviateurs sont alors éblouis.

et la presse spécialisée en parle! d’ailleurs elle taille même un costard à la grande Russie:

Au passage, l’intervention militaire russe en Syrie, n’a, pour le moment, pas eu de conséquence significative pour Daesh, qui n’a été mis en échec que grâce à l’action des milices kurdes (YPG), récemment alliées à d’autres groupes armés arabe au sein des Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par les États-Unis.
La stratégie suivie par la coalition compte 5 axes, qui ont été rappelés par le général Didier Castres, sous-chef d’état-major « opérations », lors d’une audition au Sénat en décembre (le compte-rendu vient d’être mis en ligne) : assécher les finances de Daesh, tarir le flux de ses combattants étrangers, mener des actions de contre-propagande, en particulier sur Internet, préparer la reconstruction post-conflit et enfin, conduire les opérations militaires, avec l’objectif d’endiguer les jihadistes dans l’attente de la montée en puissance des forces terrestres locales.
Si cela ne pose pas de problème particulier en Irak, où 15.000 soldats ont d’ores et déjà été formés par la coalition, il en va tout autrement en Syrie, où l’opposition dite modérée, soutenue par les Occidentaux, « ne dispose pas de la masse critique, ni des objectifs partagés qui lui permettraient de s’imposer aux autres composantes de l’opposition et de combattre efficacement Daesh », a expliqué le général Castres.

 

« Au passage, l’intervention militaire russe en Syrie, n’a, pour le moment, pas eu de conséquence significative pour Daesh, qui n’a été mis en échec que grâce à l’action des milices kurdes (YPG), récemment alliées à d’autres groupes armés arabe au sein des Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par les États-Unis. »

On appréciera!

 

Il faut rappeler que la Russie soutient activement le régime Syrien d’Assad, au dépend de forces démocratiques qui y sont opposées, les « confondant » avec les troupes de daesh:

Par ailleurs, le rôle de la Russie en Syrie a une nouvelle fois été critiqué. Avant la réunion de ce jour, le ministre britannique de la Défense, Michael Fallon, avait donné le ton. « Les bombardements russes nous dérangent de plus en plus (..) Plusieurs centaines de civils ont été tués lors de raids, avec des bombes non guidées, sur des groupes d’opposition qui combattent Assad », a-t-il déploré.
Le reproche fait à la Russie de bombarder davantage l’opposition syrienne que l’État islamique n’est pas nouveau : il a été exprimé dès le début des opérations aériennes russes en Syrie, soit le 30 septembre 2015.
Pour autant, lors d’une audition au Sénat, en décembre, M. Le Drian avait noté une inflexion de la posture militaire de la Russie, surtout après l’attentat contre un avion civil russe au-dessus du Sinaï. « Nous estimons ainsi que les frappes contre Daech représentent entre 20 et 30 % du total des frappes russes ces dernières semaines, contre 5 % auparavant », avait-il affirmé. Et d’ajouter : « La question qui se pose avec la Russie est de savoir comment nous pouvons faire pour éliminer Daesh ensemble dès lors qu’il serait reconnu comme notre principal ennemi commun. »

Quand aux capacités du missile BUK…

Une portée de 45 kilomètres
Aussi appelé Buk M2, le SA-17 est une arme redoutable. D’une portée de 45km, il peut atteindre une cible à 25.000 mètres d’altitude, ce qui lui permet de toucher aisément un appareil civil en altitude de croisière (33.000 pieds pour le MH17, soit 10.000 mètres). Sa vitesse -plus de Mach 3- ne laisse aucune chance à un avion civil. « Un chasseur pourrait détecter et tenter d’éviter le missile, grâce à des contremesures et des manœuvres d’évitement, explique un expert. Un avion civil ne peut pas savoir qu’il est verrouillé, et n’a pas les capacités de s’échapper. » L’équipage d’un avion civil ciblé par un tel système n’aurait même probablement pas le temps de voir le missile, qui arrive par-dessous ou par derrière.
Dans le détail, à l’image des autres armements sol-air (l’Aster de MBDA, ou le Patriot de l’américain Raytheon) le système SA-17 consiste en trois équipements distincts: un radar, d’une portée de 120km, qui détecte la cible; un centre de commandement, qui réceptionne l’information et prend la décision d’engager la cible; et une batterie de quatre missiles, montée sur un châssis chenillé, d’où une grande mobilité du système. « Après détection de la cible, un radar de poursuite permet de calculer sa trajectoire, et le missile se guide en phase finale grâce à son autodirecteur électromagnétique », explique un industriel des missiles. La fiabilité est estimée à 90%, chiffre sujet à caution vu le flou qui entoure traditionnellement les performances des missiles.

Donc ce récit d’avions terrorisés par les missiles russes? une histoire belge?

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